Voici la liste des questions que vous nous avez envoyées :
– En quoi la pratique du spectacle vivant met-elle en jeu des connaissances « implicites » (E. Barba) dans le domaine des sciences de la vie ?
– Pourquoi des acteurs sont-ils perçus comme sincères par certains et par d’autres comme menteurs ?
– La lecture des articles de vulgarisation scientifique est-elle suffisante pour les chercheurs en arts du spectacle vivant ?
– Une thèse qui n’aurait pas d’expérimentation est-elle valable ?
– Comment reconnaître une donnée scientifique d’une donnée para-scientifique ?
– Pour faire de la veille documentaire quelles revues consultez-vous régulièrement ?
– L’anglais est-il nécessaire si on s’intéresse aux neurosciences ?
– Quels sont les aspects du spectacle vivant qui seraient intéressantsCom à étudier pour les neurosciences ?
– En quoi l’approche scientifique du corps peut-elle être un frein à l’imaginaire ?
– L’émotion vraie fait-elle plus forte impression que l’émotion jouée par l’acteur ?
– Le corps peut-il se faire l’interprète des cultures ?
– Comment expliquer la relation entre mémoire et patrimoine corporel ?
– Les méthodologies de l’ethnoscénologie peuvent-elles nous aider à comprendre les relations entre le corps et la cognition ?